
Love, Cecil

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- Réalisateur(s) Lisa Immordino Vreeland
- Acteur(s) Rupert Everett, Leslie Caron, Peter Eyre, David Hockney, Isaac Mizrahi
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Une société ultra-connectée où les ondes ont envahi presque tous les espaces. La mise en scène explore l’idée d’une décélération du temps comme condition nécessaire à la perception d’un réel qui s’étend au-delà du visible.
Focus sur le scandale d'évasion fiscale en 2015, les Panama Papers. Cette affaire désigne la fuite aux journalistes, d'après une source anonyme, de 11.5 millions de documents officiels révélant le recours à des sociétés offshores pour permettre l'évasion fiscale à grande échelle et le blanchiment d'argent. Les actionnaires de ces sociétés sont notamment des hommes politiques, des sportifs de haut niveau, des célébrités ou encore des milliardaires. Le documentaire se penche sur la corruption au plus haut niveau du gouvernement.
Nous sommes devenus agriculteurs dans une petite commune aux portes de Lyon. Les lotissements et zones commerciales grignotent peu à peu l'espace agricole. Les prix des terres flambent et deviennent inaccessibles pour des paysans, alors même que les citadins réclament une agriculture de proximité. À travers notre aventure familiale, le film pointe la complexité et l'incohérence des règles et usages qui régissent le foncier agricole en zone péri-urbaine.
Face à la désinformation visant à persuader le public que vivre en zone contaminée est une expérience valant d’être vécue - comme le suggérait par exemple le documentaire diffusé par Arte le 26 avril 2016, "Tchernobyl, Fukushima : vivre avec" - l’association "Enfants de Tchernobyl-Belarus" a décidé de donner la parole aux quelques rares personnes qui ont consacré leur vie à réduire autant que possible les risques et dommages provoqués par la contamination radioactive. Marc Petijean, Yves Lenoir, Michel et Mona Hugot ont réalisé ce documentaire, pour rendre justice à ces derniers "liquidateurs" et décrire la réalité d’une existence vouée à une tâche sans fin...
Un hommage lyrique à Stockholm et au film d’Arne Sucksdorff, réalisé quatre décennies plus tôt, des images de la ville actuelle se mêlent à des séquences de Människor i stad.
30 ans après sa mort, Salvador Dalí est célébré dans ce documentaire qui propose un voyage à travers sa vie et son œuvre, ainsi que celle de Gala, sa muse et collaboratrice. Il commence en 1929, alors qu’il rejoint le groupe surréaliste et qu’il rencontre Gala, et se poursuit jusqu'à son décès le 23 janvier 1989. On découvre son attachement à ses lieux de vie qu’il fait évoluer au gré de son imagination : Portlligat notamment, Figueras, sa ville natale, où il crée sa maison qui deviendra le musée Dalí d’aujourd’hui, et Púbol où se trouve le château, symbole de son amour pour Gala. De nombreuses archives nous permettent d'explorer le monde de ce peintre unique dans l’histoire de l'art. En contemplant Salvador Dalí, ses créations, ses relations familiales, Gala, à travers des images et des documents parfois inédits, nous nous approchons d'un artiste qui a réussi à créer un personnage qui est une œuvre d'art en elle-même. Avec ce documentaire, nous pouvons aller au-delà de la célébrité et nous approcher du peintre et de l'homme, ainsi que des espaces qu’il a lui-même conçus et qui ont contribué à façonner son immortalité, l'immortalité d'un génie.
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Umut grandit dans son quartier de Bedrettin, à Istanbul et commence à s’y sentir à l’étroit. Frustré par ses copains qui se contentent de peu, il rêve de les inscrire à un tournoi de foot organisé dans un vrai stade. Un jour, il rencontre Rodja et fait ses premiers pas hors du chemin qu’on a tracé pour lui.